Sur une composition
axée en diagonale, comme souvent dans les peintures de G.E. ce portrait
de
Jojo,
l’ami musicien de toujours, est traité sur un mode hyperréaliste.
La lumière inonde toute l’image et l’on peut observer le travail sur
les textures du bois, des pierres, du vêtement et l’expression absorbée
du sujet dans cette œuvre que presque rien ne distingue d’une photo.
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